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Vivre heureux et responsables, un équilibre à trouver

Vivre heureux et responsables, un équilibre à trouver

Nous aspirons à être heureux et c’est légitime. Pourtant le monde qui nous entoure nous montre tant de souffrance et d’inégalités ! Comment vivre sereinement, quand autour de nous le monde est si injuste ?Il s’agit de trouver un équilibre entre le désir de vivre heureux et la nécessité de prendre notre part de responsabilité.

Le monde est parfois injuste. On se met alors comme une estompe sur les tableaux de la vie qui nous entoure pour que les images soient moins nettes, la lumière moins brillante. C’est plus facile à regarder, cela fait moins peur.

Certaines personnes vont même jusqu’à se mettre des œillères pour ne pas voir la noirceur du monde. Soit elles le minimisent, soit elles le mettent à distance, soit elles s’imaginent que cela finira par disparaître.

Parfois, cela résulte d’un choix, conscient ou non, celui de ne pas voir. Mais parfois, l’éducation ou les circonstances de la vie les ont enfermés dans une bulle.

Pourtant, quand la vie les confronte à la réalité, le choc peut être rude, la situation intenable.

À l’opposé, d’autres personnes se sentent submergées par leur responsabilité dans le monde.

Chaque jour apporte son lot d’événements tristes venant du monde entier. Et même plus près de nous, la misère n’est pas loin, qu’elle soit matérielle, sociale ou affective. Nous en sommes en partie responsables puisque nous sommes tous des habitants du même monde.

Et puis nous avons aussi notre part d’ombre intérieure. Même sans le vouloir, on fait parfois du mal.

Alors on peut se sentir écrasé par le poids du monde et de ses noirceurs. Envahi par un sentiment de culpabilité collective. Et ne plus pouvoir vivre heureux.

Pourtant, certains êtres ont la faculté d’irradier malgré les difficultés. À l’image de ces femmes venues d‘Afrique, rayonnantes en dépit de parcours de vie terribles.

Comme si les difficultés de la vie leur avaient donné la capacité d’une joie bien plus profonde. Comme si elles avaient au fond d’elles-mêmes, une source inépuisable d’harmonie que rien ne pouvait altérer.

Trouver une mer calme quand la vie nous a ballotté au milieu des tempêtes, c’est donc possible.

Il nous faut d’abord accepter ce qui est et assumer nos impuissances et nos responsabilités. Et ce n’est pas si facile.

Selon nos vies et ce que nous avons vécu, nous réagirons différemment et l’acceptation ne suivra pas le même processus. Pour certains, accepter les difficultés ou l’innommable sera difficile, car cela fera écho à un passé douloureux, à des blessures internes.

Nous nous mettons parfois des boucliers pour nous protéger des trop-pleins : trop-plein de beauté et trop plein d’horreur. Les détacher, c’est nous mettre à nu et nous rendre vulnérables. Mais c’est aussi (re)trouver la vie et l’énergie.

En nous-même, aussi, il y a de l’ombre et de la lumière. La vie est faite de ces 2 composantes. Pour vivre heureux, il nous faut assumer notre part personnelle d’ombre.

Alors acceptons ce qui est, ce que nous pouvons faire et ce que nous ne pouvons pas faire. Notre part de responsabilité collective et personnelle.

Et comme tous les vivants, nous devons aussi accepter le cycle de la vie. Admettre qu’un jour, nous allons mourir. À notre naissance, nous avons reçu 2 cadeaux : la vie et le fait qu’un jour, nous disparaîtrons. Sans la mort, la vie n’aurait pas la même saveur.

Se placer dans le cycle de la vie, c’est accepter d’une part la vie et la mort, et d’autre part les hauts et les bas de la vie. À l’image d’un électrocardiogramme, nos vies passent par des sommets et des abîmes. Parfois aussi, c’est le calme plat avec sa dose d’ennui.

Nous pouvons accueillir ces cycles immuables, comme un cadeau fait aux vivants.

Accepter le monde et sa part sombre, c’est aussi accepter de quitter la légèreté pour entrer dans la profondeur. Ne pas rester à la surface des choses ou des gens. Ne pas se contenter d’images superficielles.

Mais comprendre ce qui se cache derrière l’apparence.

La légèreté ne résiste pas à l’épreuve de la vie. Il nous faut accepter de la perdre, au moins en partie, pour prendre notre part de responsabilité.

Trouvons un équilibre entre légèreté et responsabilité. C’est alors que nous pourrons vivre de façon positive et harmonieuse.

Nous pouvons passer ensuite à l’action pour trouver notre place sans écraser rien ni personne.

Dans les situations compliquées ou qui nous mettent mal à l’aise, nous pouvons prendre le temps de l’analyse et du recul pour agir au mieux.

Prenons l’exemple du stress. Face à la même situation, chacun n’aura pas les mêmes sensations et réactions. Certaines personnes vivent même très bien leur stress, qu’elles l’aient appris en coaching ou de façon innée.

D’abord, elles perçoivent les peurs et les dangers.

Puis elles analysent et elles prennent du recul. En effet, il y a des dangers plus critiques, car plus immédiats ou plus proches. Elles décident de s’en écarter. Et pour les autres, elles peuvent prendre le temps de s’y préparer et de trouver leurs propres ressources.

L’analyse et la prise de recul nous permettent de mettre en place des actions adaptées. Être dans l’action pour ne pas subir.

Éventuellement, on peut préparer des ressources internes pour se défendre. Elles s’exerceront d’abord sur des petits enjeux, avant d’être utilisées dans des scénarios plus périlleux.

Nous sommes alors prêts à sortir de notre zone de confort, à accepter le monde et à affronter les situations difficiles. Nous devrons reconnaître que parfois nous sommes vulnérables. Avoir l’humilité de l’homme face à l’univers, au monde et aux hommes.

Pour certains, la tentation est forte de rester dans sa bulle avec ses joies lisses et agréables, sans émotions fortes, fermée sur ce qui se passe de l’autre côté du mur. Il s’agira d’ouvrir la porte doucement sur le monde. En y allant par étape.

Nous pouvons aussi choisir de développer notre capacité à voir les choses positives. Par exemple, quand quelqu’un fait du mal à une autre personne, il est peut-être en mode survie, comme l’araignée qui tue pour se nourrir.

Faire la part des choses entre ceux qui font du mal pour survivre et ceux qui le font pour écraser, pour détruire, pour prouver qu’ils sont puissants.

Comprendre le dessous des choses pour voir les éléments positifs. Ne pas rester à la surface.

Cette recherche nous mènera à l’harmonie intérieure. Celle qui nous fait irradier d’une lumière chaude et intense et qui nous protège.

Quand nous sommes attaqués, nous continuons à aller bien, car l’autre n’a pas touché notre cohésion de nous-même. Nous sommes toujours restés nous-même, bien avec notre âme, en paix avec nous-même.

Le coaching est un moyen d’avancer plus vite et plus sûrement sur le chemin de notre harmonie intérieure.

Apprendre à faire des choix et à prendre sa part de responsabilité. Faire le choix d’avancer sur son chemin personnel. Comprendre que ce ne sont pas les situations qui nous arrivent qui ont un sens. C’est ce que nous en faisons après qui est important.

Préparer ses ressources internes pour mieux vivre ses peurs. Sortir de sa zone de confort à petits pas pour mieux trouver sa zone de sérénité.

Savoir évaluer le danger et la nécessité d’agir pour transformer ce danger en opportunité. Quand un danger survient, on peut

  • Choisir de ne pas le voir,
  • Décider que ce n’est pas un danger pour nous,
  • Réagir en s’écartant ou en activant des ressources.

Trouver son harmonie et sa propre sagesse pour rayonner et apporter de la lumière au monde. Et ainsi faire sa part dans le monde.

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