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Comment le coaching a transformé ma vie

Comment le coaching a transformé ma vie

« Le coaching de vie a changé ma vie à tous les niveaux. Ça a été une révélation ! »

Lucile Poitou, coach de vie et fondatrice de Lucile Coach, a expérimenté par elle-même le changement que peut apporter le coaching de vie. Elle a apprivoisé le temps et arrêté de courir. Elle a appris à gérer la distance aux autres et aux situations, pour vivre apaisée. Elle a transformé ce qui pouvait être négatif en force et accepté la mouvance de la vie. Elle a développé sa capacité à être caméléon et se mettre à la place des autres, pour devenir coach de vie elle-même et contribuer au monde. Récit d’une découverte qui a changé sa vie.

« Le coaching de vie a changé ma vie à tous les niveaux. Ça a été une révélation ! » Lucile a été attirée, au départ, par une formation, sans savoir très bien ce qu’elle en ferait ensuite. Elle se disait que ça lui apporterait certainement quelque chose. Mais ça a été un vrai révélateur. Ça lui a tellement plu qu’elle s’est dit qu’elle ne ferait pas autre chose.

Le coaching a changé sa vie, car elle a appris à connaître qui elle est vraiment, à s’accepter telle qu’elle est. A augmenté sa confiance, son estime de soi. Et à avoir d’autres attentes optimales pour sa vie.

Avant, dans sa vie, elle se sentait fatiguée. Et puis elle a appris à accepter ses envies, son rythme de vie, à profiter de sa vie chaque jour. Et, en plus, elle arrive à le faire en faisant un métier qui l’épanouit.

Le coaching est entré dans sa vie et tout s’est intégré naturellement, que ce soit sa vie personnelle ou professionnelle. Elle peut décider de son rythme, tout en intégrant les autres et les imprévus dans sa vie. « Je suis dans une zone de confort, mouvante, je peux me challenger sans pression. Je peux rester en harmonie avec moi-même. »

Un jour, on a demandé à Lucile : « C’est quoi pour toi le luxe ? »

– Du temps !

Le luxe, c’est d’avoir le temps. Pouvoir se permettre d’avoir du temps et de ne pas courir. Ça fait partie de la richesse de la vie.

Le coaching de vie permet de travailler son rapport au temps. C’est ainsi que Lucile a arrêté de courir. Pendant de nombreuses années, toute sa vie était très organisée. Femme active avec 2 beaux enfants, elle glissait d’une activité à l’autre, d’une contrainte à l’autre, sans souffler.

Elle est passée à une situation pleine d’imprévus, d’inconnus. Et son idée du temps a vraiment changé. Après tout, pourquoi courir ? Et après quoi court-on ? Et elle a arrêté de courir. Le coaching de vie l’a amenée à accepter l’idée de fainéantise. C’est bon aussi de ne rien faire, d’avoir un rythme plus lent, de s’autoriser à paresser.

Dans un planning débordé, on n’a pas de marge de manœuvre. Or, dans la vie, tout ne se passe pas toujours comme on a prévu. C’est donc bien de laisser de la place pour les imprévisibles.

En fait, la vraie richesse, c’est de pouvoir alterner les périodes calmes et celles plus intenses. Choisir aussi son rythme, ses priorités. Lucile aime prendre son temps, mais aussi enchaîner les rendez-vous. Elle aime aussi travailler avec des horaires décalés. C’était déjà le cas dans son premier métier, quand elle travaillait dans l’hôtellerie/restauration. Et c’est parfois le cas pour ses rendez-vous de coaching.

Elle aimait ce décalage du temps. Travailler quand les autres rentrent se reposer. Et puis ne rien faire quand les autres s’agitent. « J’apprécie toujours ce décalage ».

« J’étais une hypersensible qui s’ignorait et le coaching me l’a révélé et me l’a fait accepter. » Maintenant, elle sait gérer ces situations. Elle a appris à mettre de la distance, à prendre du recul, à accepter l’inacceptable. Comment vivre heureux alors qu’il y a autant de souffrance dans le monde ?

Le coaching apprend à prendre du recul par rapport aux autres, par rapport à des situations et par rapport à soi-même. Parfois, on est désorienté, on a perdu ses repères. Avec le coaching de vie, on se reconnecte à soi-même. L’hypersensibilité la faisait souffrir. Elle a maintenant les clés pour la gérer. Elle a l’impression d’être moins hypersensible, car elle n’en souffre plus.

« Cette distanciation, je l’avais très jeune et je l’ai développé avec le coaching. » Depuis son enfance, Lucile a toujours senti un décalage. Qu’est-ce que je fais sur cette terre ? Pourquoi suis-je là ? Cette distanciation par rapport à des gens ou à des situations qui pouvaient la faire souffrir, elle a appris à la cultiver. Et c’est même devenu un avantage pour son métier de coach.

Cette capacité à prendre du recul contribue à son bien-être et à son bonheur. Ainsi, grâce au coaching, elle a transformé cette sensation de distance qui lui pesait en quelque chose de positif.

Le coaching de vie permet de transformer des éléments négatifs en positifs, comme un alchimiste change le plomb en or. Faire du neuf avec du vieux.

Lucile a divorcé après 20 ans de mariage. Cette période très instable, après une longue séquence de stabilité, l’a bousculée. Et puis elle a transformé ce célibat en richesse. Elle est partie explorer le monde qui l’entourait. Elle a fait des rencontres très riches.

Plusieurs fois dans sa vie, Lucile a senti qu’elle n’était plus à sa place là où elle était, comme à la fin de son mariage.

Ou encore, quand elle dirigeait une équipe de 25 personnes dans une clinique. C’était une très belle expérience. D’abord, car c’était dans le domaine de la santé, secteur qui la passionne depuis qu’elle est petite. Et puis aussi par le côté humain. C’est un métier très riche, de terrain et aussi très fatigant, avec beaucoup de tension. Au bout d’un moment, elle a senti que c’était transitoire, que ce n’était plus sa place.

Lucile a vécu cette sensation plusieurs fois dans sa vie personnelle et professionnelle. Elle aimait ce qu’elle faisait et puis, à un moment, elle sentait que ce n’était plus sa place.

Le coaching apprend à accepter la mouvance de la vie. Rien n’est figé. Je peux vouloir une chose aujourd’hui. Et demain, ce sera peut-être autre chose. On continue à avancer sur le chemin de sa vie. L’important, c’est de sentir que ce qu’on fait est juste. Là où je suis au moment présent, c’est exactement ce qui devait se passer. On apprend à accepter ce qui se passe et qui on est. Accepter aussi la vie entière avec ses bons côtés et ses moins bons.

Originaire des Ardennes, Lucile vient d’un milieu très équilibré. « J’ai beaucoup de chance, j’ai une belle famille ». Mais elle a dû sortir de cette zone de croyance très pragmatique, très normée, car elle ne s’y retrouvait pas. « J’ai dû m’enfuir pour retrouver ma liberté ».

Dans sa vie professionnelle, elle a rencontré des croyances limitantes. Elle a travaillé une dizaine d’années dans un cabinet de recrutement. Elle y aidait des personnes à sortir de leurs contraintes et à prendre conscience de celles qu’on ne peut pas enlever.

En coaching, maintenant, elle retrouve cette même idée : faire l’optimum par rapport à une situation, ne pas vendre du rêve qui n’est pas possible, aider à sortir de sa zone de croyance.

« J’ai fait des métiers où on connaît le devant et le derrière », l’endroit et l’envers du décor. Quand elle travaillait dans l’hôtellerie/restauration, elle aimait beaucoup ce partage, cette richesse des relations. Et aussi ce côté double : un grand professionnalisme, une grande organisation qu’on ne ressent pas de l’autre côté. Tout est fait pour le plaisir des clients.

C’est pareil en coaching. Le client ne ressent pas le professionnalisme du coach, tout le travail en amont.

Pour Lucile, contribuer au monde est important. Quand elle travaillait en cabinet de recrutement, elle accompagnait des personnes sur leurs parcours : que veulent-ils faire ? Que peuvent-ils faire ? Et quelle est la réalité du marché ?

En coaching de vie, c’est pareil. Elle accompagne les personnes vers leur rêve, tout en gardant les pieds sur terre. Elle partage son expérience du monde du travail et les stéréotypes dans le recrutement pour ne pas rêver de l’impossible. Elle aide les personnes coincées dans des schémas qui emprisonnent, à avoir conscience des contraintes et à faire l’optimum avec ce qu’on a.

Pour Lucile, sa façon d’être engagée, c’est d’avoir un métier où elle accompagne des personnes. Et qui la nourrit elle-même. Accompagner les personnes pour qu’elles soient le mieux possibles dans leur vie et dans leur travail, qu’elles aient une chance de s’épanouir et d’améliorer vraiment leur vie.

Car, avec le coaching, elle a compris qu’il y a plusieurs façons de contribuer à un monde meilleur et que ça ne doit pas être un sacrifice. Accepter de ne pas sauver le monde, mais faire sa part, à son échelle, à son niveau.

Lucile possède une formidable capacité de caméléon, une grande intelligence émotionnelle : elle peut se mettre à la place des personnes, du grand patron aux plus simples. Son empathie lui fait comprendre les uns et les autres. En coaching, cette aptitude lui sert tous les jours, car un coach a un rôle de miroir vis-à-vis du client.

Parfois, à force d’être un caméléon pour les autres, on se perd. À force de prendre la couleur des autres, quelle est ma couleur à moi ? « Qui suis-je vraiment ? » s’est demandé souvent Lucile. Le coaching lui a appris à prendre le recul nécessaire pour se connaître et garder ses repères au fil du temps. Et accepter aussi que sa couleur change au cours de sa vie.

Lucile est une personne très lumineuse. Pas étonnant quand on se souvient que le prénom Lucile vient des mots lumière, éclairer. Elle illumine et apporte la sérénité aux gens. Parfois malgré sa propre tempête intérieure !

Et depuis son enfance, par les réflexions qui lui sont faites, elle s’est rendu compte qu’elle éclairait les autres de sa lumière intérieure, comme un phare dans la tempête. Elle se souvient, par exemple, d’un marché en Guyane et d’une dame qui lui disait qu’elle était si heureuse de l’avoir rencontrée.

De son côté, Lucile est aussi fascinée par des personnes qui vivent des choses difficiles, la misère, la guerre… Et qui ont cette capacité malgré tout, à dégager un bonheur incroyable. De belles âmes qui illuminent aussi nos vies.

Cette lumière est peut-être nourrie du plaisir que Lucile cultive. Le plaisir d’accompagner des personnes hypersensibles. Le plaisir de la vie, de l’instant présent.

Elle retrouve ce plaisir dans la danse. Pas besoin de matériel, juste soi. Et laisser libre cours à son expressivité. Dégager quelque chose de l’intérieur vers l’extérieur. C’est aussi un travail sur soi et sur ce qu’on communique.

Et le coaching lui a appris à trouver et utiliser ses ressources intérieures et extérieures. Qu’est-ce que j’ai ? Qu’est-ce que j’en fais ? En coaching, c’est nous la solution : trouver au mieux la solution en nous.

Et certes, dans le monde et dans nos vies, il y a des choses pas drôles. Mais nous pouvons décider de voir aussi la lumière. Nous pouvons accepter pleinement le plaisir de la vie, les plaisirs simples du moment présent.

« Ce qui devra se faire se fera. Mais contribuer au monde est une évidence. Sans sacrifice. Tout en s’amusant »

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